Salut 👋
Bienvenue dans la 57ème édition de Paradigmes !
Aujourd’hui au programme :
L’histoire d’un enfant battu devenu légende de l’armée américaine
Faire face à ses insécurités et apprendre à les balayer
Reprendre le contrôle de sa vie pour changer de trajectoire
Bonne lecture :)
On t’a partagé cette édition ou tu découvres Paradigmes pour la première fois ?
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5 défis d'un NAVY Seal pour maîtriser son esprit
Avant que je ne m’intéresse de plus près au monde du business et au développement personnel, j’étais parfaitement hermétique à la lecture. 15 ans de scolarité m’avaient fermé à l’idée même de ralentir le pas au rayon des livres de la FNAC.
Après tout, l’enthousiasme pour lire Antigone en classe ne se force pas… Chacun ses intérêts.
Aujourd’hui l’odeur des pages n’est plus la même. Elle m’obstine. J’en suis toujours au stade où je ne lis que pour m'instruire, pour mieux me comprendre. Mais c’est un vrai plaisir personnel qui m’attend chaque soir sur la table de chevet.
Et je suis convaincu d’une chose : un livre a le pouvoir de changer la trajectoire d’une vie humaine.
Encore faut-il y être réceptif.
Il m’a fallu 620 pages pour comprendre la notion de résilience avec l’histoire de Nike et son fondateur Phil Knight dans l’Art de la Victoire. L’histoire de David Goggins, elle, m’a donné un aperçu assez clair de ce qu’est la force mentale. Elle m’a aussi donné l’envie de me dépasser cette année pour m’endurcir dans un monde qui ramollit.
Comment ? Avec 10 challenges actionnables. Mais j’ai gardé les 5 qui me paraissaient les plus pertinents à partager aujourd’hui.
Laisse-moi d’abord te présenter le personnage.
La revanche en personne
J’approche la fin du livre à l’heure où je t’écris ces lignes. David attend sagement son tour aux urgences avec la paume des mains à vif. Il a juste tenté de battre le record du monde de 4021 tractions en 24h… Pour la deuxième fois consécutive. Et alors qu’il lui manque plusieurs couches de peau, il prévoit déjà de retenter le coup dans 2 mois.
C’est juste un détail de son histoire.
Avant de devenir une icône des forces armées américaines, David a passé une enfance que personne n’a envie de vivre même en cauchemar. C’était comme si toutes les galères du monde lui était tombé dessus à la naissance.
Il travaillait déjà à l’âge de 6 ans pour son père qui l’exploitait en dehors des heures de classe. S'il avait le malheur de faire le moindre écart, il savait déjà la souffrance qui l’attendait après la fermeture. Toute sa famille (lui, son frère et sa mère) passait sous les coups de ceinture quotidiennement. Du moins quand son père avait encore l’énergie de frapper après le boulot…
Il a fallu qu’ils échappent à l’enfer pour se retrouver dans une ville où le racisme était un sport local. Ajoute à ça des lacunes scolaires, un stress post-traumatique et un TDAH. Bien sûr, la pauvreté était un défi de plus pour le mettre à l’épreuve de la vie.
Son passage à l’âge adulte n’avait rien de plus évident : une dépression, un corps de 140 kg à traîner et un job de dératiseur dans les fast-food.
Le déclic dans l’histoire ? Le passage d’un documentaire des NAVY Seals un soir à la télé.
Et on peut dire que ça a littéralement changé sa vie. Il a donné toute son âme pour intégrer les forces de l’armée américaine. Déjà en perdant 45kg sur 3 mois pour être accepté aux qualifications, puis en repassant à 3 tentatives les semaines d’enfer (avec une pneumonie et des fractures en prime) qui offrent le précieux diplôme.
Plus on avance dans l’histoire, plus on comprend l’envie de revanche. La souffrance et le dépassement de soi sont devenus les drogues qu’il consomme au quotidien. David veut devenir cet être exceptionnel parmi ces hommes exceptionnels. Il est même décrit comme “l’homme le plus en forme des Etats-Unis”.
Au-delà de servir pour l’armée, il s’est découvert une carrière d’athlète d’ultra-endurance. Ultra parce que c’est ce genre de gars qui se met en tête de courir 217 km en passant par la vallée de la mort en plein mois de juillet (+70°) en moins de 48h pour la course Badwater. Juste un exemple parmi les 60 ultra-marathons/triathlons à son actif.
Voilà l’exemple vivant du potentiel humain.
Autant te dire qu’à la lecture de son livre, j’ai reconsidéré la taille de mes problèmes actuels (de gigantesques dans ma tête à presque insignifiants). Et que même s’il fallait tout recommencer à 0 dans la vie, ça serait toujours infime comparé à ce que certains peuvent vivre.
David a semé les graines de la force mentale à travers des challenges en fin de chaque chapitre. Il n’appartient qu’à nous de les planter à notre tour pour forcer notre destin. Loin de moi (très loin) l’idée de devenir ultra-marathonien. J’essaie juste de m’extraire un peu plus chaque jour de cet ultra-confort moderne pour demander plus à la vie.
Si c’est une quête qui t’intéresse toi aussi et que tu as besoin d’un moyen de propulsion pour ce début d’année, je te propose qu’on plonge ensemble (à notre rythme) dans ces 5 petits défis au cours de la semaine.
Quand est-ce que tu as réellement appliqué des conseils en développement personnel au point de te dire sans mentir “ce livre a changé ma vie” ?
Jamais ?
Alors on est deux, et il est temps qu’on s’y mette ensemble. On pourrait même appeler ça la méthode Goggins et s’en reparler d’ici un mois. En attendant tout ce qui compte, c’est de s’engager et de faire les choses dans l’ordre. Et de les faire bien.
J’ai pensé que le chat privé pourrait être un bon moyen de se motiver ensemble. C’est pourquoi pendant les 5 prochains jours à 19h, je te partagerai mes réponses sans filtre aux 5 défis. Et bien sûr, ça me ferait hyper plaisir de t’y voir participer en retour aussi !
J’espère libérer toute la puissance du pouvoir de l’engagement. Mais pas d’obligation, juste du bonus. Tu peux aussi juste prendre l’inspiration dont tu as besoin dans la suite de cette newsletter. Et pourquoi pas même revenir sur ces défis plus tard dans l’année.
Your choice.
Défi #1 : Jouer carte sur tables
On pourra se plaindre autant qu’on veut du système français, si on se retrouve à lire ou écrire derrière un écran au chaud en hiver sans se soucier de savoir s' il y aura à manger sur la table ce soir, alors on peut s’estimer chanceux.
D’autres dans ce monde sont nés dans une sombre misère, sous les balles et les bombes d’une nation en pleine crise d’ego. Notre jeu de cartes aurait pu être meilleur, mais la pioche aurait surtout pu être bien plus dure avec nous.
Cela n’empêche pas d’arriver en fin de vie avec le goût amer d’un potentiel inexploité. Le moindre effort est une loi de la nature humaine selon laquelle, depuis la nuit des temps, on cherche à en faire le moins possible pour économiser nos ressources physiques et cognitives. On se bat toute notre existence contre ce principe de survie ancestral.
C’est pourquoi le confort acquis peut en vérité être le plus grand des obstacles à surmonter. Il est évident qu’à un moment ou à un autre, on fera face à des difficultés. Mais peut-être que nos limites viennent simplement du fait d’avoir grandi sans ne jamais manquer de rien, et alors d’avoir vécu sans se demander “et si ?”, cette question qui ouvre tout un champ des possibles.
Avec ce premier challenge, David nous incite à répondre à quelques questions. Je t’encourage à y répondre à l’écrit dans un carnet que tu pourras garder à portée de main pour la suite. Et surtout d’y répondre dans les moindres détails. Comme il dit : déballe tout ton linge sale.
Quels sont les facteurs limitants de ta progression et de ton succès ?
Qui ou quoi se met en travers de ton chemin vers tes objectifs ?
As-tu le sentiment de ne pas être apprécié à ta juste valeur au point de voir les opportunités te passer sous le nez ? Pourquoi ?
Quels sont les défis auxquels tu fais face en ce moment ?
Te sens-tu à ta place ? Si non, pourquoi ?
Ton histoire personnelle, tes souffrances et tes excuses te serviront de carburant.
Je sais à quel point c’est intimidant d’exposer ses insécurités au monde mais les mettre en lumière, c’est les rendre plus concrètes pour mieux les balayer. La pression est un privilège alors je te propose de partager tes réponses (toutes ou en partie) avec nous autres dans le fil de discussion #Défi1
.
Comme prévu, c’est moi qui commence.
Et toujours, pas d’obligation. Tu peux aussi garder tes écrits dans l’intimité pour y revenir de temps à autre. Fais ce qui fonctionne pour toi. C’est quelque chose de difficile, mais pas d’insurmontable.
Défi #2 : Accepter son reflet
Il arrive un moment où une situation, un événement ou une simple discussion nous oblige à voir la vérité en face. Le challenge du reflet vise à provoquer ce moment plus tôt que prévu. David Goggins l’appelle “le miroir des responsabilités”.
Le jour où tout a changé pour lui est celui où il a pris la décision qu’il deviendrait NAVY Seal après avoir vu ce fameux documentaire sur les forces armées américaines. Et il s’est mis au travail à la minute près. C’est-à-dire qu’il a immédiatement été se confronter à son propre reflet dans le miroir de la salle de bain. Puis il s’est mis à coller des posts-its dessus : ses inquiétudes, ses rêves et ses objectifs.
En fait, il s’est montré brutalement honnête envers lui-même. Parce que c’est la seule façon d’arrêter de se mentir est de se regarder en face. Littéralement.
Maintenant je vais reprendre une partie de ses mots (parce que oui, il y va cash) :
“Si tu n’es pas très éduqué, bouge-toi parce que tu n’es pas très intelligent. Si dans le miroir tu es en surpoids, bouge-toi parce que tu es gros. Accepte-le, c’est tout.”
Je suis assez d’accord pour dire que dans de tels moments, il faut parfois se montrer cruel envers soi-même pour faire bouger les choses. Ça ne va pas nous tuer mais nous endurcir et ça peu importe l’objectif de vie.
Dans mon cas j’ai 28 ans, deux mois d’allocs en rab et pas un euro de côté pour l’avenir (au moment de la publication). Je l’accepte, c’est tout. Il est assez évident qu’aussi longtemps que je me plaindrai, je stagnerai dans l’eau croupie de ma médiocrité.
Peu importe ton objectif de vie (démissionner, entreprendre, perdre du poids, courir 10 kms…), montre-toi honnête quant aux étapes que tu devras franchir pour l’atteindre, jour après jour. Ne te contente pas de le penser mais inscris-les sur un post-it que tu colleras là où tu peux le voir le plus souvent possible.
Chaque étape est un post-it qui en remplace un autre, et ainsi de suite… Perdre 10 kilos, c’est d’abord en perdre un ce mois-ci. Deux de plus le mois suivant, peut-être 5 ou 6 sur un trimestre entier.
Je te montrerai l’exemple dans le chat pour le #Défi2
de sorte à ce que ce soit plus concret. Le vrai “développement personnel”, c’est ni plus ni moins qu’un engagement + de la discipline.
Défi #3 : Prendre la déviation
Dans ma chambre derrière cet écran et ces lumières de couleurs que j’aime allumer à la tombée de la nuit, se situe ma zone de confort. Là, au beau milieu de ma chaise bien rembourrée. Je m’y sens bien parce que je ne crains absolument rien. C’est un espace où la peur et le stress ont du mal à pénétrer.
Sauf qu’à force d’y rester, je rate un peu plus chaque jour l’opportunité de vivre la vie que j’aime imaginer. Et c’est valable pour chacun d’entre nous qui aimons tant se réfugier sur le canapé pour tout oublier.
Albert Einstein définissait la folie comme “faire toujours la même chose et s’attendre à un résultat différent”. J’aurais envie de dire que rester dans sa zone de confort, c’est projeter le film de sa vie sans jamais oser la vivre.
La première étape pour élargir cette zone est d’aller se confronter à ses frontières. En mettant un pied dans la zone d’apprentissage, on fournit volontairement les efforts pour se voir évoluer. A première vue ça n’a rien d’agréable, mais tout l’objectif est de se créer régulièrement des évidences qu’on est capable d’en faire un peu plus chaque jour ou chaque semaine.
Parce que quand on se prouve à soi-même qu’on est capable de courir sur 5 kilomètres, on gagne la confiance en soi nécessaire pour reproduire cet effort en ayant soustrait la peur qui pouvait l’accompagner. Et puis on s’autorise à penser à la suite : 6 kms, puis 7, puis 10… Le curseur glisse progressivement vers l’inconfort jusqu’à décrocher l’accomplissement.
Personne ne change sa vie du jour au lendemain mais tout le monde est capable de s’en donner les moyens. Tant que les changements restent supportables, on apprend. Si on brûle les étapes, c’est tout l’effet inverse : la panique déclenche le stress et crée des traumatismes.
En théorie ce n’est pas si compliqué que ça. En pratique, ça veut dire creuser l’écart avec le confort en tenant une petite dose de souffrance quotidienne. Une micro-tâche désagréable pour commencer à se dépasser, aussi simple que faire son lit tous les jours ou se lever 15 minutes plus tôt pour prendre un petit-déjeuner.
Alors le défi est là : qu’est-ce que tu n’aimes pas faire ou qui te met mal à l’aise ?
Note tout ce qui te vient en tête dans ton carnet. Pense avant tout aux choses qui pourraient t’être bénéfiques. Puis retiens-en une seule. Juste une. Celle qui renferme un effet de levier suffisant pour que tu puisses constater une évolution dans trois semaines.
La suite, c’est de faire. Faire et recommencer jusqu’à ce que ça devienne facile. Quand c’est facile, on peut ensuite rajouter un poids d’inconfort sur la barre et pousser plus fort.
On s’en parle plus en détails dans le chat au #Défi3
pour s’engager ?
Défi #4 : Remplir sa boîte à cookies
J’aime le sport. J’adore ça même. C’est en fait l’une des cartes joker de ma vie qui me procure un avantage dans la catégorie “santé”. Sortir un vendredi soir dans une nuit glaciale pour aller à Fitness Park ne me pose aucun problème.
Ce qui pose problème en revanche, c’est que je ne cherche plus vraiment à me dépasser depuis que c’est devenu une routine bien établie. Et puis à l’exception de ma petite voix, il n’y a personne qui puisse me pousser à me dépasser sur une séance. Je m’entraîne seul.
Il arrive quand même que dans un élan d’énergie, je veuille en faire plus que d’habitude. Quand je compte 10 burpees dans ma tête pendant un circuit cardio, il y a deux personnages qui font leur apparition :
l’économe, qui ne voit pas l’intérêt d’en faire un de plus si ce n’est “trop se dépenser”
le tenace, qui aspire à ce que j’en ajoute deux au compteur pour me dépasser
C’est là qu’intervient la boîte à cookies de notre ami Goggins. La motivation d’en faire plus se puise dans nos précédents succès, et dans tous les obstacles qu’on a déjà su surmonter. C’est le principe même de la confiance en soi : je l’ai déjà fait, donc je peux le refaire. Voire même en faire davantage.
Ici ça veut dire plonger ma main dans le bocal et piocher ce cookie qui me rappelle “10 burpees ? Tu l’as déjà fait des dizaines de fois… Bien sûr que tu peux pousser plus loin”. Dans une situation qui tutoie l’abandon, un cookie est un rappel à soi-même de notre capacité à faire. C’est comme faire une brève visite dans sa salle des trophées pour s’imprégner des victoires précédentes et aller en décrocher une de plus.
Et ça vaut pour n’importe quel effort/objectif : avoir arrêté de fumer, avoir vaincu la dépression ou l’anxiété sociale, avoir décroché un diplôme ou une promotion… Repenser à un succès peut permettre de reprendre le contrôle sur son esprit en cas de doute.
Ce défi est le plus agréable parce qu’il s’agit de lister une à une toutes tes victoires personnelles. Shot de confiance en soi garanti. Pour ça, reprends ton carnet et remplis ton bocal de cookies. Tu peux aussi inclure les obstacles de vie surmontés.
Et quels sont les précédents échecs qui t’ont demandé de redoubler d’efforts pour les transformer en réussite ?
Quand tu voudras abandonner dans la souffrance, tu auras le droit de piocher un cookie.
Je t’en partagerai 3 des miens sur le chat le jour du #Défi4
. J’attends les tiens !
Défi #5 : Valser avec le temps
En 2009, Clifford Nass et son équipe de chercheurs ont fait remplir à 262 étudiants des questionnaires pour savoir à quelle fréquence ils s'adonnent au multitâche.
Ils ont alors séparé les participants en deux groupes :
les fréquents
les occasionnels
Avant de découvrir les résultats, ils étaient tous fermement convaincus que les personnes multitâches détenaient un secret pour être hyper efficaces. C’est en fait tout l’inverse : le multitâche est un mensonge.
Ce n’est pas la seule étude à démontrer que faire plusieurs choses à la fois nous rend moins bon. Être multitâche, c’est diviser son attention et s’exposer davantage aux erreurs. C’est aussi perdre un temps considérable pour se remettre au travail entre chaque tâche. On s’en croit capable et c’est vrai dans le cas où l’on marche et parle en même temps, mais pas dans des situations qui nous demandent une attention particulière, comme le travail.
Le multitâche n’est ni efficace, ni rentable. Juste “une occasion de rater plusieurs choses à la fois” disait Steve Uzzell. La fausse croyance selon laquelle on peut accomplir plus en faisant plusieurs choses en même temps a fait naître une génération toute entière de bâcleurs. Ensuite on adore affirmer qu’on manque de temps quand il nous reste une tonne de tâches à finir.
Ce cinquième et dernier challenge vise à reconsidérer notre rapport au temps. Il se déroule sur 3 semaines (toujours selon Goggins).
La première semaine est comme une expérience de conscience avec soi-même. L’idée est de noter la manière dont tu compartimentes tes journées. C’est-à-dire :
À quelle heure tu travailles ?
Combien de temps durent tes pauses ?
À quelle fréquence tu touches à ton téléphone ?
Est-ce que tu changes souvent d’onglet ?
Si tu en fais, combien de temps durent tes séances de sport ?
Quelle portion de ta journée tu passes dans les transports ?
Combien de temps tu alloues au repos ? Au divertissement ?
Tes réponses vont gagner en détail à mesure que tu les documentes. Tu auras après ça déjà un bon référentiel entre les mains pour faire les ajustements nécessaires. Dans le cas où on a un objectif en tête, si on est 100% honnête, ce n’est pas rare de perdre 2-3 heures de temps par jour à divaguer.
Pour la deuxième semaine, on peut commencer à établir un planning idéal en planifiant des fenêtres temporelles pour certaines activités (sport, rencontres, écriture, peinture, cuisine…) mais aussi le pour le repos. Plusieurs d’entre elles prendront plusieurs jours ou semaines et c’est normal. Le but n’est pas de se précipiter mais de retrouver une approche monotâche en combinant attention + intention.
La troisième semaine sera la première d’une longue série d’expérimentations pour déterminer quelle organisation te convient le mieux. Avec un agenda bien établi, tu as plus de chances d’accomplir ce que tu as prévu de faire. Et surtout ce qui compte le plus pour toi. Mais s’il y a bien une règle qui ne doit pas être transgressée, c’est bien celle du sommeil. Ne compromets jamais tes heures de repos.
J’ai prévu de créer un template pour mieux structurer mes semaines suite à ça. On s’en reparle le jour du #Défi5
?
À partager 🍿
🎙️ Jorick Dorignac, gagnant de Top Chef - Le goût des victoires difficiles
Belle découverte du podcast Ressentir de
grâce à mes promenades sur Substack. Ici un épisode avec un invité qu’on a moins l’habitude d’entendre sur les podcasts plus “mainstream”, et ça fait du bien.🎬 On part 2 semaines aux USA pour comprendre le rêve américain
Mathieu Stefani et son équipe sont partis aux USA pour enregistrer les prochains épisodes du Generation Do It Yourself (GDIY), et ils ont décidé de documenter leur aventure. Une parenthèse de voyage que j’ai beaucoup apprécié.
"Our potential is one thing. What we do with it is quite another" — Angela Lee Duckworth
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"Tout ce qui ne nous tue pas, nous rend plus fort" un vrai jusqu'au boutiste ce Goggins, un surhomme... Se donner tant de mal pour se dépasser chaque jour. Faudrait que je lise l'un de ses livres.
Ce gars, c'est ce qu'on appelle un "anti-fragile". Nous sommes dans le piège du "tout confort", plus compliqué de se motiver.
Cependant, l'équilibre finit toujours par se ratablir, après tout, c'est bien connu, si nous restons trop dans ce confort, la facilité, les choses deviendront de plus en plus difficile au fil du temps. Merci pour l'article Alexandre.
Tellement inspirant ce David Goggins. Je l'avais écouté sur le podcast de Huberman Lab, il disait même qu'après tout ce temps il aimait toujours pas courir, mais que sa discipline et son mental faisait qu'il y aller quand même